Je ne suis pas un ange de Ai Yazawa
Série complète en 4 doubles volumes
Shojo, romance lycéenne
Série complète en 4 doubles volumes
Shojo, romance lycéenne
La série raconte les années de lycée du premier comité d'élève du lycée Hijiri constitué de cinq personnages sympathiques. L'héroïne, Midori (la vice-présidente) est une fille pétulante et douée en dessin qui est tombée amoureuse presque au premier coup d’œil d'Akira (le président) avec sa coiffure ducktail et son petit côté bad boy. De son côté, l'apparamment froide Yûko Mamiya (secrétaire) est, depuis le collège, secrètement amoureuse de Shûichi Takigawa (le comptable), un garçon qui plaît aux filles. Enfin, il y a l'autre secrétaire, Bunta Kôno, un sportif qui est un ancien camarade de classe de Midori.
Il s'agit de la plus ancienne série de l'auteur que nous connaissons en France, et aussi la dernière d'elle que nous ayons découverte.
Elle contient déjà de nombreux thèmes chers à Ai Yazawa : les amours contrariés où les malentendus se multiplient faute d'honnêteté de la part des personnages ; les amitiés hautes en couleur ; les personnages créateurs ; la rupture du 4ème mur avec l'inclusion de l'auteur en tant que personnage figurant ; les références à ses précédentes œuvres (ici Marine Blue, une série inédite en France) A ce propos, notez qu'on croise Akira et Midori dans Gokinjo, une vie de quartier, la série créée juste après par l'auteur où il est par ailleurs fait de nombreuses fois allusions au chanteur Ken Nakagawa, l'ami d'enfance de Midori.
Au niveau du dessin, on sent l'ancienneté du titre. Le trait évolue énormément entre le premier et le dernier volume de la série où le style se rapproche de celui qu'on connaît à l'auteur.
Basée essentiellement sur l'histoire d'amour entre la sympathique Midori et Akira, le faux mauvais garçon au passé familial compliqué, Je ne suis pas un ange est une série simple, mais où l'on tourne les pages avec plaisir, car les émotions y sont très bien rendues. On rit et on pleure avec les personnages, et la dernière page refermée, on est content d'avoir fait un bout de chemin en leur compagnie.
Il s'agit de la plus ancienne série de l'auteur que nous connaissons en France, et aussi la dernière d'elle que nous ayons découverte.
Elle contient déjà de nombreux thèmes chers à Ai Yazawa : les amours contrariés où les malentendus se multiplient faute d'honnêteté de la part des personnages ; les amitiés hautes en couleur ; les personnages créateurs ; la rupture du 4ème mur avec l'inclusion de l'auteur en tant que personnage figurant ; les références à ses précédentes œuvres (ici Marine Blue, une série inédite en France) A ce propos, notez qu'on croise Akira et Midori dans Gokinjo, une vie de quartier, la série créée juste après par l'auteur où il est par ailleurs fait de nombreuses fois allusions au chanteur Ken Nakagawa, l'ami d'enfance de Midori.
Au niveau du dessin, on sent l'ancienneté du titre. Le trait évolue énormément entre le premier et le dernier volume de la série où le style se rapproche de celui qu'on connaît à l'auteur.
Basée essentiellement sur l'histoire d'amour entre la sympathique Midori et Akira, le faux mauvais garçon au passé familial compliqué, Je ne suis pas un ange est une série simple, mais où l'on tourne les pages avec plaisir, car les émotions y sont très bien rendues. On rit et on pleure avec les personnages, et la dernière page refermée, on est content d'avoir fait un bout de chemin en leur compagnie.