Shojo ou manga pour filles rime le plus souvent en France avec romances lycéennes. Cependant, il existe beaucoup de shojo différents où si les sentiments restent essentiels, ils ne sont pas le seul thème. Il existe notamment les shojo à vocation, c'est-à-dire, pour faire court, des shojo où l'héroïne n'est pas juste intéressée par l'amour et les beaux garçons.
Jusqu'à récemment, ces shojo à vocation étaient peu nombreux en France, mais l'éditeur Tonkam est en train de les remettre au goût du jour avec Seiyuka (débuté en France en avril 2011), Hikari no densetsu - Cynthia ou le rythme de la vie (débuté fin juin 2011), et Crimson Hero qui débutera ce mois-ci.
Hikari no densetsu - Cynthia ou le rythme (de la vie et Crimson Hero sont, pour être exact, des shojo sportif, les sport aimés étant des passions destinées à être des vocations.
Pour Hikari, c'est la gymnastique tandis que pour Nobara, l'héroïne de Crimson Hero, c'est le volley ball - elle fugue pour en jouer car elle ne souhaite pas succéder à ses parents qui tiennent un restaurant traditionnel.
Enfin, dans Seiyuka, l'héroïne est portée par sa passion pour le doublage.
Si on regarde chez les autres éditeurs, du côté des mangas pour filles pouvant correspondre à la définition de shojo à vocation, on trouve chez Casterman, Skip Beat (série en cours) qui commence comme un shojo traditionnel avec Kyôko Mogami, une héroïne amoureuse et admiratrice de son ami d'enfance monté à Tokyo pour devenir une star du showbusiness. Cependant, quand elle se rend compte qu'elle a été utilisée par ce dernier, Kyôko décide de se venger et dans le processus se découvre une vocation d'actrice.
Du côté de chez Delcourt, on peut lire Sweet Relax (série complète en 9 volumes) avec Chiaki et sa passion pour le massage et J'aime les sushis (série en 8 volumes) avec Hanayu, la fanatique des sushis.
Enfin, chez Kana, on peut citer Cat Street (série en 8 volumes) dont les quatre héros tous sortis du système scolaire habituel sont aidés à trouver leur vocation grâce à El Liston, une école spéciale dite "active" où les élèves sont très libres.
Au Japon, il y a évidemment beaucoup plus de shojo à vocation tel Glass Mask qu'on connaît en France par l'intermédiaire de l'animé intitulé Laura ou la passion du théâtre et dont on espère un jour lire le manga, un shojo fleuve commencé dans les années 70 qui compte actuellement 47 volumes.
Jusqu'à récemment, ces shojo à vocation étaient peu nombreux en France, mais l'éditeur Tonkam est en train de les remettre au goût du jour avec Seiyuka (débuté en France en avril 2011), Hikari no densetsu - Cynthia ou le rythme de la vie (débuté fin juin 2011), et Crimson Hero qui débutera ce mois-ci.
Hikari no densetsu - Cynthia ou le rythme (de la vie et Crimson Hero sont, pour être exact, des shojo sportif, les sport aimés étant des passions destinées à être des vocations.
Pour Hikari, c'est la gymnastique tandis que pour Nobara, l'héroïne de Crimson Hero, c'est le volley ball - elle fugue pour en jouer car elle ne souhaite pas succéder à ses parents qui tiennent un restaurant traditionnel.
Enfin, dans Seiyuka, l'héroïne est portée par sa passion pour le doublage.
Si on regarde chez les autres éditeurs, du côté des mangas pour filles pouvant correspondre à la définition de shojo à vocation, on trouve chez Casterman, Skip Beat (série en cours) qui commence comme un shojo traditionnel avec Kyôko Mogami, une héroïne amoureuse et admiratrice de son ami d'enfance monté à Tokyo pour devenir une star du showbusiness. Cependant, quand elle se rend compte qu'elle a été utilisée par ce dernier, Kyôko décide de se venger et dans le processus se découvre une vocation d'actrice.
Du côté de chez Delcourt, on peut lire Sweet Relax (série complète en 9 volumes) avec Chiaki et sa passion pour le massage et J'aime les sushis (série en 8 volumes) avec Hanayu, la fanatique des sushis.
Enfin, chez Kana, on peut citer Cat Street (série en 8 volumes) dont les quatre héros tous sortis du système scolaire habituel sont aidés à trouver leur vocation grâce à El Liston, une école spéciale dite "active" où les élèves sont très libres.
Au Japon, il y a évidemment beaucoup plus de shojo à vocation tel Glass Mask qu'on connaît en France par l'intermédiaire de l'animé intitulé Laura ou la passion du théâtre et dont on espère un jour lire le manga, un shojo fleuve commencé dans les années 70 qui compte actuellement 47 volumes.