

Là où le premier héros, Sôta est un garçon manquant de confiance en lui, espérant qu'une fille veuille bien de lui, Taiga qui est pauvre, est intéressé par se dénicher une fille riche.


Ce ton mixte n'est
pas mauvais, le contraste entre les deux créant un effet de surprise la
première fois qu'on bascule dans le dramatique alors que jusque là
c'était léger, mais le mélange n'est pas toujours bien géré.
Au final, j'ai préféré le second Happy Project au premier, car Sôta est une vraie girouette au cœur changeant plus énervant qu'autre chose avec ses atermoiements : dur de croire en ses sentiments ! Au bout du compte Taiga semble plus sincère en dépit de ses mensonges pour se faire passer pour un riche et séduire une fille fortunée.
Alors qu'on peut se réjouir pour Taiga à la fin, difficile de faire de même pour Sôta qui hésite successivement entre trois filles.
En bref, Happy Project est une courte comédie dramatique qui contient de bons éléments pas toujours bien dosés et est affligée d'un héros indécis.