Au total, c'est 72 anecdotes de sa vie new-yorkaise que partage Akino Kondoh avec le lecteur dans la joie et la bonne humeur. On notera qu'elle a certain recul puisque quand elle s'est mis à dessiner son journal, elle était déjà New York depuis plusieurs années. Être aux Etats-Unis lui permet également une distance face à sa propre culture.
Akino Kondoh revient sur son choix d'habiter à New York. Elle aborde le souci de la langue, les différences de températures, de vêtements, d'habitudes alimentaires. Elle s'interroge sur certaines choses que font les américains et pas les japonais.
Elle évoque certaines habitudes qu'elle prend à force de vivre à New York, notamment s'excuser en anglais spontanément - ce qu'elle fait donc même au Japon ! A contrario, il y a des choses à New York auxquelles elle ne peut se faire tel certains matériaux à dessin qu'elle ne juge pas assez bien par rapport à ce qu'elle trouve au Japon ou encore le prix de certains aliments japonais.
Avec humour, elle parle de son quotidien, de ses expéditions à la laverie automatique, du voisinage de son immeuble, de son petit ami américain, de ses amis japonais ou étrangers, de son travail et de problématiques décalages en raison de la distance.
Le ton est léger, mais certains passages prennent un tour presque philosophique.
Toutes ses anecdotes qu'on savoure mieux en lisant en plusieurs fois sont l'occasion d'apprendre des choses à la fois sur le Japon et les États-Unis, et même en prime de réfléchir à sa propre culture et à la façon dont elle peut être perçue de l'extérieur.
Akino Kondoh revient sur son choix d'habiter à New York. Elle aborde le souci de la langue, les différences de températures, de vêtements, d'habitudes alimentaires. Elle s'interroge sur certaines choses que font les américains et pas les japonais.
Elle évoque certaines habitudes qu'elle prend à force de vivre à New York, notamment s'excuser en anglais spontanément - ce qu'elle fait donc même au Japon ! A contrario, il y a des choses à New York auxquelles elle ne peut se faire tel certains matériaux à dessin qu'elle ne juge pas assez bien par rapport à ce qu'elle trouve au Japon ou encore le prix de certains aliments japonais.
Avec humour, elle parle de son quotidien, de ses expéditions à la laverie automatique, du voisinage de son immeuble, de son petit ami américain, de ses amis japonais ou étrangers, de son travail et de problématiques décalages en raison de la distance.
Le ton est léger, mais certains passages prennent un tour presque philosophique.
Toutes ses anecdotes qu'on savoure mieux en lisant en plusieurs fois sont l'occasion d'apprendre des choses à la fois sur le Japon et les États-Unis, et même en prime de réfléchir à sa propre culture et à la façon dont elle peut être perçue de l'extérieur.
En bref, Chroniques new-yorkaises est une suite d'anecdotes croquées plaisamment par une
artiste japonaise installée à New York.
Si une suite sort un jour, ce sera un plaisir de découvrir de nouvelles réflexions de l'auteur qui évolue peu à peu à mesure que le temps passe et que son séjour s'allonge.
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Article lié sur le blog : présentation du titre
Ils en parlent ailleurs sur le web :
Chronique Morgan de Aftermangaverse
Chronique Ours256 Manga Mag
Avis Elodie Drouard sur le Blog FranceTVInfos
Au pays de Kondoh sur Libération par Marius Chapuis
Si une suite sort un jour, ce sera un plaisir de découvrir de nouvelles réflexions de l'auteur qui évolue peu à peu à mesure que le temps passe et que son séjour s'allonge.
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