Jumping est une série complète en 4 volumes. En dépit du titre et des couvertures, très orientés chevaux, il ne s'agit pas uniquement d'un manga d'équitation. Alors, oui, on en parle, comme dans Gwendoline et Silver Spoon, et si c'est une composante importante de l'histoire, l'essentiel demeure le parcours et l'évolution de Ran, l'héroïne.
Ran est dysgraphique, c'est-à-dire qu'elle peine à écrire correctement. Ce n'est pas un manque d'intelligence, et d'ailleurs, si elle a échoué à ses examens d'université, c'est à cause du stress. Se sentant nulle, dépourvue de confiance en elle, complexée en raison de toutes les critiques qu'elle a essuyées en raison de son écriture, elle se terre chez elle.
Heureusement, son amie Sayuri qui a emménagé à Aomori, vient lui rendre visite et lui offre de vivre là-bas avec elle. Quand Ran apprend que son cousin Sô qui avait arrêté de faire du cheval suite à une chute a repris l'équitation à la fac, cela achève de la convaincre qu'elle doit avancer.
A Aomori, il y a un club d'équitation, un cavalier Hinagata dont elle va admirer la prestance et surtout un cheval, Tsugaru, que plus personne ne peut monter. Entre Ran et le cheval, un lien spécial se noue et il devient une source de motivation.
Même si le focus est sur la timide, mais courageuse Ran, sur l'enjouée et énergique Sayuri qui soutient son amie à 100% et sur Hinagata, Jumping met en scène tout un groupe de personnages tous plus attachants les uns que les autres.
Précisons qu'Hinagata remporte la palme du plus charmant des héros avec ses rougissements et ses maladresses. Il est loin de ces types imbus d'eux-mêmes au double visage qu'on croise à foison dans les romances et ça fait du bien. Il est lui aussi fragile, en quelque sorte bloqué dans le passé, et c'est Ran qui va lui montrer la voie...
S'il y avait un reproche à faire à la série, c'est qu'arrivé à la fin du volume 4, bien qu'il contienne une fin satisfaisante, il est dur de ne pas regretter de ne pas pouvoir suivre davantage ses personnages. Un dernier tour de piste aurait été bienvenu.
Ran est dysgraphique, c'est-à-dire qu'elle peine à écrire correctement. Ce n'est pas un manque d'intelligence, et d'ailleurs, si elle a échoué à ses examens d'université, c'est à cause du stress. Se sentant nulle, dépourvue de confiance en elle, complexée en raison de toutes les critiques qu'elle a essuyées en raison de son écriture, elle se terre chez elle.
Heureusement, son amie Sayuri qui a emménagé à Aomori, vient lui rendre visite et lui offre de vivre là-bas avec elle. Quand Ran apprend que son cousin Sô qui avait arrêté de faire du cheval suite à une chute a repris l'équitation à la fac, cela achève de la convaincre qu'elle doit avancer.
A Aomori, il y a un club d'équitation, un cavalier Hinagata dont elle va admirer la prestance et surtout un cheval, Tsugaru, que plus personne ne peut monter. Entre Ran et le cheval, un lien spécial se noue et il devient une source de motivation.
Même si le focus est sur la timide, mais courageuse Ran, sur l'enjouée et énergique Sayuri qui soutient son amie à 100% et sur Hinagata, Jumping met en scène tout un groupe de personnages tous plus attachants les uns que les autres.
Précisons qu'Hinagata remporte la palme du plus charmant des héros avec ses rougissements et ses maladresses. Il est loin de ces types imbus d'eux-mêmes au double visage qu'on croise à foison dans les romances et ça fait du bien. Il est lui aussi fragile, en quelque sorte bloqué dans le passé, et c'est Ran qui va lui montrer la voie...
S'il y avait un reproche à faire à la série, c'est qu'arrivé à la fin du volume 4, bien qu'il contienne une fin satisfaisante, il est dur de ne pas regretter de ne pas pouvoir suivre davantage ses personnages. Un dernier tour de piste aurait été bienvenu.
En bref, Jumping est une série très positive et énergisante avec cette passion des chevaux, son héros adorable et son héroïne animée de la volonté d'aller de l'avant en dépit des obstacles.