Mimikaki, l'étrange volupté auriculaire de Yarô Abe (La cantine de minuit) est un titre complet en 1 volume qui devrait sortir fin mai/début juin 2018 au prix de 13€ aux éditions le Lézard Noir.
[Source Le Lézard Noir]
Résumé éditeur :
9 histoires délicates, 9 personnages qui nous confient un instant de leur vie, non pas autour d’un petit plat comme dans La Cantine de minuit, mais dans un salon de beauté un peu spécial.
Les « mimikaki » désignent les cure-oreilles japonais, ces bâtonnets en bois ou en métal à l’extrémité recourbée. Pour beaucoup de Japonais, le mimikaki est un outil qui procure un plaisir indicible, surtout quand c’est quelqu’un d’autre qui le manipule ! À tel point qu’il existe des établissements spécialisés où le client peut payer pour une séance de nettoyage d’oreilles, en général effectuée la tête posée sur les genoux d’une femme.
Yarô Abe nous fait découvrir avec poésie, humour et subtilité cette étonnante pratique à travers neuf histoires courtes mettant en scène divers personnages qui vont avoir affaire à Shizue, mystérieuse professionnelle du mimikaki dont les talents font littéralement jouir de plaisir les clients. Ainsi Tôru, lycéen, éprouve ses premiers émois sexuels en se curant les oreilles avec un mimikaki fabriqué à la main par Shizue, le céramiste Seiji est persuadé que les séances de mimikaki de Shizue lui permettent de voir la suite de ses rêves, tandis qu’Ishii, femme frigide, décide de sauter le pas après que ses collègues masculins lui aient vanté les plaisir du mimikaki.
À travers des histoires toutes plus originales les unes que les autres, Mimikaki emmène ses lecteurs dans un univers étrange, voluptueux et plein de sensibilité.
Mimikaki, l'étrange volupté auriculaire (Yamamoto Mimikaki-Ten) a été prépublié en 2013 dans le magazine seinen Big Comic Original des éditions Shogakukan.
Extrait en japonais de 42 pages sur le site des éditions Shogakukan
[Source Le Lézard Noir]
Résumé éditeur :
9 histoires délicates, 9 personnages qui nous confient un instant de leur vie, non pas autour d’un petit plat comme dans La Cantine de minuit, mais dans un salon de beauté un peu spécial.
Les « mimikaki » désignent les cure-oreilles japonais, ces bâtonnets en bois ou en métal à l’extrémité recourbée. Pour beaucoup de Japonais, le mimikaki est un outil qui procure un plaisir indicible, surtout quand c’est quelqu’un d’autre qui le manipule ! À tel point qu’il existe des établissements spécialisés où le client peut payer pour une séance de nettoyage d’oreilles, en général effectuée la tête posée sur les genoux d’une femme.
Yarô Abe nous fait découvrir avec poésie, humour et subtilité cette étonnante pratique à travers neuf histoires courtes mettant en scène divers personnages qui vont avoir affaire à Shizue, mystérieuse professionnelle du mimikaki dont les talents font littéralement jouir de plaisir les clients. Ainsi Tôru, lycéen, éprouve ses premiers émois sexuels en se curant les oreilles avec un mimikaki fabriqué à la main par Shizue, le céramiste Seiji est persuadé que les séances de mimikaki de Shizue lui permettent de voir la suite de ses rêves, tandis qu’Ishii, femme frigide, décide de sauter le pas après que ses collègues masculins lui aient vanté les plaisir du mimikaki.
À travers des histoires toutes plus originales les unes que les autres, Mimikaki emmène ses lecteurs dans un univers étrange, voluptueux et plein de sensibilité.
Mimikaki, l'étrange volupté auriculaire (Yamamoto Mimikaki-Ten) a été prépublié en 2013 dans le magazine seinen Big Comic Original des éditions Shogakukan.
Extrait en japonais de 42 pages sur le site des éditions Shogakukan