Ma sélection du mois parmi les séries en cours dont les volumes continuent fidèlement à sortir. J'ai déjà parlé d'elles sur le blog, mais c'est l'occasion de les remettre en avant et d'évoquer le chemin qui a été parcouru depuis les premiers volumes.
Ce manga sur le basketball est profondément humain, ici, pas de longs matchs interminables à coup de techniques foudroyantes, mais des interactions intéressantes entre les joueurs et leurs passés respectifs.
Ce huitième volume introduit un nouveau personnage, un géant à l'énergie défaillante qui se montre attachant, comme tous les autres membres de l'équipe de basketball du lycée Kuzuryu.
Ce huitième volume introduit un nouveau personnage, un géant à l'énergie défaillante qui se montre attachant, comme tous les autres membres de l'équipe de basketball du lycée Kuzuryu.
La gymnastique rythmique est toujours au centre de la série qui offre de très belles planches avec de jolies poses de corps dansants. L'aspect sentimental n'est néanmoins pas oublié.
Une nouvelle drôle d'otaku fait son apparition dans ce volume. Toutefois, là n'est pas l'essentiel. Ce qui compte, c'est que nos rêveuses, pour sauver le bâtiment où elles vivent, se mettent en quatre pour lancer leur marque de couture "Jellyfish" C'est aussi l'occasion de creuser le personnage de la fanatique des Trois Royaumes.
Ce volume casse le schéma répétitif des premiers volumes où Lucius, architecte de la Rome Antique faisait un voyage dans le Japon Moderne et en ramenait des idées innovantes pour créer des bains plus agréables à Rome.
Si Lucius est une fois de plus propulsé d'un bain antique à un bain japonais, il ne parvient pas ce coup-ci à repartir à son époque et il fait la connaissance d'une japonaise qui parle le latin... L'humour s'en trouve renouvelé.
Si Lucius est une fois de plus propulsé d'un bain antique à un bain japonais, il ne parvient pas ce coup-ci à repartir à son époque et il fait la connaissance d'une japonaise qui parle le latin... L'humour s'en trouve renouvelé.